Dommage ! Moi je vivais le contact avec vous plutôt comme un enrichissement. Nos univers sont différents et moi je trouve cela très bien. Les différences sont toujours un enrichissement et tous vos sujets m'intéressent. Pas besoin de longues phrases pour exprimer ce que l'on ressent. j'aime faire court ce qui n'est pas une marque de désintérêt.

Bonjour Daniel ; les échecs j'en ai eu, surtout parmi les blogs. Le fait que vous mettiez de longs commentaires (ou réponses) dans les autres blogs et non dans le mien est effectivement vécu comme un échec. On aurait pourtant eu des tas de choses intéressantes à se dire. Je sais que l'humour, la photo, le dessin, la créativité, le romantisme, les brocantes, le rétro, la Paix et le désarmement ne peuvent pas plaire à tout le monde, mais je proposais de vous distraire, même si nous n'avions pas tout à fait la même notion de la philosophie de vie. Vous savez, question politique, je suis très à gauche et ma meilleure amie blogueuse est extrême-droite. Nous avons fait ici la preuve que l'on pouvait s'entendre super bien avec des idées politiques diamétralement opposées. Le fait que vous ne mettiez pas plus de quatre mots en commentaire dans mon blog restera un mystère pour moi (même sur les suicides à france télécom, la marche pour le climat ou le droit à mourir dans la dignité, qui sont pourtant des sujets qui intéressent tout le monde). Je vis donc notre échange comme un échec, ce qui correspond bien à votre article présentement.<br /> <br /> Longue vie à votre blog et bons échanges avec vos amis.<br /> <br /> Très cordialement.<br /> <br /> Eliane Roi.

Oui il y a des échecs très traumatisants dont on a du mal à se remettre. Mais dans l'ensemble si on arrive à tirer les leçons de ses échecs , cela peut être bénéfique. <br /> <br /> De toute façon la vie est souvent difficile: lutte, pouvoir, argent, comparaison, esprit de compétition......Et j'en passe !!<br /> <br /> Il faut éviter les aigreurs, les regrets, le pessimisme !

Coucou Daniel<br /> <br /> <br /> <br /> Je pense comme Marie Christine, mais aussi comme Aloysia Martine... <br /> <br /> Les échecs ne sont pas tjrs source de progression... quelques fois ils abattent tellement l'individu qu'il ne peut s'en remettre : ex avec mon père, pourtant très courageux, revenu mourant de la guerre et qui a réussi à se remonter... mais que les épreuves de la vie ont usé jusqu'à sa mort très précoce.... <br /> <br /> Les réussites font tellement du bien... mais j'ai parfois l'impression que les français acceptent mal les réussites.... en tout genres... A chaque fois qu'une personne essaie de pouvoir enfin prendre des "responsabilités" associatives ou autres d'ailleurs, en toute simplicité..... elle trouve avec stupéfaction nombre de peaux de bananes sur sa route.... sans les avoir chercher... sans comprendre pourquoi ? L'humanité n'est pas tendre ! Il faudrait se revêtir d'une cuirasse blindée... mais s'endurcir n'est pas le top non plus !!! <br /> <br /> Bref, les échecs souvent rendent les personnes misanthropes ou tellement découragées qu'elles abandonnent tout espoir d'une vie meilleur... J'en ai connu tellement sur ma route.... et continue d'en voir... <br /> <br /> Merci Daniel et bonne route

J'ai enfin eu le plaisir de venir te rendre visite . J'ai apprécié ton propos en lisant ton texte. Je vais mieux, mais je dois encore être patient pour retrouver ma forme ! Passe une bonne semaine . Cordiales amitiés & à +

Bonjour Daniel, je ne suis pas tout à fait d'accord, ce n'est pas forcément évident pour tout le monde de "se prendre en main", surtout lorsqu'on est seul(e) c'est bien, plus difficile. Et puis cela dépend des échecs que tu évoques, certes ce sont les épreuves qui permettent d'avancer, de grandir, de progresser, mais un soutien ça fait du bien.<br /> <br /> Bonne journée à toi

Echec et mat! je suis toujours effarée de voir le nombre de bouquins tous plus farfelus dans le rayon "développement personnel" à la librairie du coin. Comme s'il fallait tout expliquer à l'être humain. Comment gérer son couple, ses enfants, sa vie professionnelle, ses échecs, ses maladies et tout le reste. Il faut tout lui expliquer alors qu'il a en lui toutes les clés. Bises alpines.

je pense que c'est juste. C'est important comme tu le dis de tirer les leçons et de rebondir.<br /> <br /> Bon dimanche Daniel et merci pour ces partages pertinents.

Le lâcher prise en quelque sorte car on avance bien souvent dans le brouillard !

L'échec, rude école car pendant que l'on mord la poussière, on ne comprend pas ce qui se passe... C'est une école de foi. On est obligé de marcher dans le noir, sans savoir où l'on va, et c'est ce souterrain travail que se fait en nous, à notre insu : l'apprentissage de l'abandon de soi.... Comme disait Jésus le soir au Mont des Oliviers : "non comme JE veux, mais comme TU veux..."

Pas facile d’accepter l’échec… Pourtant, il n’y a toujours que du bon à en tirer, mais, sur le moment, c’est plutôt le désespoir et l’incompréhension que l’on ressent, c’est bien plus tard que l’on en comprend tout le sens… Beau dimanche Daniel !

je suis en plein "dedans", j'ai toujours la sensation d'être en échec et je pense que ça vient d'une pression forte que je mets sur la définition de "réussir"....c'est très curieux car je ne vois même pas ce que je mets exactement sur "réussir" sauf une pression monumentale

Chacun avance à son rythme, avec ce qui lui a été donné à la naissance. je suis en toutes choses contre l'esprit de compétition. Voilà bien un monde qui m'indiffère. Chacun est ce qu'il est et fait ce qu'il peut là où il est avec les moyens qu'il a à sa disposition au moment présent. Je ne connais pas ton histoire. Je ne sais pas ce que tu mets dans le mot "échec" mais de là à faire l'apologie de l'échec, j'ai un peu de mal avec ce concept. Avoir échoué peut simplement nous faire comprendre que la voie suivie n'était pas la nôtre. A chacun son chemin.

donner le meilleur de soi en toutes circonstances, rater parfois réussir de temps en temps ... apprendre à grandir, c'est parfois tomber pour mieux se relever ... ce qui est à exclure c'est pour moi tout esprit de compétition ... là où il y a "un gagnant" il y a forcément "un perdant" !<br /> <br /> amitié .

Je hais les échecs !<br /> <br /> Oui, Daniel, tu as raison sur toute la ligne. Tant que nous tâtonnons, tant que nous évoluons vers plus de conscience, les échecs sont incontournables. Et il vaut mieux les prendre avec philosophie et humilité ! Car on peut aussi les nier, les cacher, les faire assumer à d'autres...<br /> <br /> Mais pour moi, les échecs sont des fautes de goût. Ils choquent le sens esthétique car ils sont le grain de sable dans l'engrenage, le pou sur la tête, la tache sur la feuille blanche...<br /> <br /> Je hais les échecs car ils me rappellent à chaque fois comme je suis loin de la perfection. Dommage, j'adore la perfection. Qui ne l'aime pas ?<br /> <br /> Oh, l'âge m'a fait dépasser le besoin de gloire personnelle, la fierté, les flatteries alléchantes ou rassurantes. Non, ce n'est pas l'ego qui me fait aimer la perfection, c'est une espèce de transcendance, peut-être une nostalgie du paradis perdu, d'un lointain passé, d'un état d'être idéal où tout coule de source, où tout est volupté, aisance, amour, joie, douceur, paix et sensation d'absolu.<br /> <br /> En attendant, c'est vrai, les échecs sont parfois des épreuves brutales nécessaires à notre éveil. Ils cassent des rigidités inconscientes pour nous assouplir et nous transformer en profondeur. Mais quels coups de massue !<br /> <br /> Ainsi va la vie tant que nous en sommes encore à l'enfance de notre humanité.<br /> <br /> Cela dit, les réussites m'ont fait avancer aussi. Elles m'ont redonné espoir et confiance en moi. Elles ont renforcé ma foi en Dieu. Les réussites sont toujours pour moi des miracles, des messages divins qui me font éprouver une immense gratitude.<br /> <br /> On progresse d'échec en échec jusqu'au jour où notre intuition de plus en plus aiguisée saura nous les faire éviter. Oui, car le but de nos vie est bien de nous rapprocher de notre âme et de l'écouter plus que toute autre considération extérieure...<br /> <br /> Sur ce point, je suis donc une incurable optimiste : j'affirme que les échecs ne sont pas une fatalité. Un jour viendra où ils ne seront plus nécessaires !

Entièrement d'accord, les échecs nous font parfois plus avancer que les réussites et nous permettent de rester modestes...Ceux qui s'imaginent ne jamais se tromper sont dans l'illusion la plus totale et manquent de lucidité

Le philosophe Charles Pépin a consacré tout un livre aux "valeurs" de l'échec: je l'ai feuilleté et je le trouve très intéressant! A recommander donc!

Positiver, positiver....