Seuls au monde
Croire que nous sommes seuls dans l'univers me paraît une douce utopie. Pourquoi la terre serait-elle la seule planète habitée par une certaine forme de vie? Pourquoi n'existerait-il pas, dans notre galaxie ou d'autres galaxies des planètes où la vie serait présente. Notre schéma de pensées nous amène à imaginer que nous sommes seuls au monde et qu'il n'existe qu'une seule forme de vie.
Il existe des milliards de galaxies ( comme la notre, la voix lactée ) qui comporte elle même des centaines de millions d'étoiles. Même si nous savons que les conditions d’apparition de la vie sont très rares , il est plausible de penser qu’il y ai seulement une chance sur les quelques autres millions de système solaire, pour qu’il y ai une autre planète comme la terre dans notre galaxie. Comme il existe des milliards de galaxies, il y a de grandes possibilités pour qu’il existe des millions de civilisations extraterrestres dans l’univers.
Mais à cette existence présumée de civilisations extraterrestres s'ajoutent aussi la possibilité d'autres mondes invisibles mais bien présents autour de nous. Toutes les expériences de EMI (Expériences de Mort Imminente) avec les nombreux témoignages recueillis sont là pour le démontrer. D'autres mondes plus subtils et plus vastes que le notre existent.
Pour ma part, j'adhère sans problème à toutes ses hypothèses en partant du principe que tout est vibration. Nous vibrons selon une certaine fréquence, la nature vibre, les végétaux aussi. Le cosmos vibre. La vie n'est qu'une vibration. Donc il est tout à fait possible d'envisager d'autres plans d'existence dont la fréquence vibratoire soit différente de la notre et qui soient invisibles à nos yeux.
Nous vivons au milieu d'un énorme maelstrom de formes de vie sans nous en rendre compte. Certains ont la possibilité de changer de fréquence vibratoire et de percevoir ce que nous ne voyons pas. Nous devrions être plus à l'écoute et appréhender l'univers avec un autre canal que notre mental. Seuls nos sens nous permettent de pénétrer ces mystères qui n'en sont pas.
Daniel