On entend souvent dire qu'aimer quelqu'un c'est l'accepter tel qu'il est. <br /> Oui, mais il faut d'abord avoir la capacité de voir qui il est... <br /> et qui il n'est pas. <br /> Derrière le personnage, c'est un autre moi-même que je vois et je ne peux qu'aimer.

Le mariage ou union de l'amour duel et de l'amour non duel.<br /> C'est possible mais très difficile car il oppose la séparation à l'unité.<br /> C'est bien cela la cruauté du jeu de la création. <br /> Il faut faire avec, juste être conscient et donner, simplement donner, puis ressentir, ressentir au fond de son coeur l'amour, dans le respect total de la liberté.

Oui c'est pas mal dit.<br /> C'est simple, c'est vrai, c'est fort !<br /> "IL Y A L'AMOUR DIVIN,<br /> ET IL Y A L'AMOUR HUMAIN."<br /> Le premier se vit dans la perfection.<br /> Tandis que le second est en perpétuel devenir.<br /> Avec ses avancées et avec ses reculs.<br /> Aimer, c'est affreusement ambigu.<br /> J'aime pour moi.<br /> Ou bien j'aime pour l'autre ?<br /> C'est peut-être un mélange des deux.<br /> Et pour conclure, une jolie expression qui n'est pas de moi : "Aimer quelqu'un, c'est lui donner la capacité de me faire souffrir."

"Aimer"<br /> Pour moi, il y a l'amour humain et l'amour divin.<br /> <br /> L'amour humain, amour entaché de possession, de dépendance, de jalousie... C'est l'égo qui aime.<br /> <br /> L'amour divin, amour qui voit l'être en lui et en chacun. C'est le divin, la présense en nous qui aime.<br /> <br /> Heureusement, l'amour divin se fraie un chemin à travers les affres de l'égo et rend l'amour humain plus pur, plus libre bien souvent.

L’amour est à l’image de cette petite flamme au fond des yeux. <br /> Elle reste droite, étirée vers le haut.<br /> Sa lumière est vive, douce et chaleureuse.<br /> Elle est fragile certes et vacille de temps à autre.<br /> Aimer c’est maintenir cette petite flamme avec le cœur afin qu’elle ne s’éteigne pas au moindre souffle.<br /> Et si elle vient à s’éteindre, aimer c’est accepter car l’amour est libre, tout comme l’envol d’un oiseau.

L'amour a la base est bien telle que vous l'avez défini.<br /> Mais il est à la fois notion de confiance et notion de défiance.<br /> Confiance car il nécessite à avoir confiance en l'autre qui est tout simplement se voir en l'autre et défiance car le simple fait de ne pas être comme l'autre peut entrainer une forme déception car on attend de l'autre qu'il soit un autre soi-même.<br /> Alors que le véritable amour c'est accepter l'autre dans toute sa différence alors forcémment tôt ou tard il y a un jugement.La première rupture apparait après trois ans. Tout simplement parce que durant ces trois ans ont découvre l'autre ; après trois ans il y a affirmation de la personnalité on voit l'autre tel qu'il est et non pas tel qu'on a imaginé qu'il soit...et donc on émet un jugement cela ne signifie pas pour autant l'absence d'amour mais la reconnaissance d'une différence. La confiance peut, elle, aussi être mis à mal elle ne se limite à la tromperie (adultère) mais à l'attitude ex : la mauvaise foi, le caractère, l'absence de caractère bref toute les notions de déceptions que l'on peut avoir.<br /> Après par amour on fait le compromis d'accepter la différence car personne n'est lisse chacun a son petit ou gros défaut. <br /> Le désir de possession exsite toujours car quand on aime on a envie d'être la personne et partager les choses avec cette personne car on sait que l'autre éprouvera le plaisir que soit..on rentre ainsi dans la notion de partage.<br /> Vos questions sont intéressantes tuer par amour, dans le cas de divorce ont pu voir des cas de meurtres ; les psy appellent cela je crois la sauvegarde d'autrui. c'est à dire que celui qui souffre pense qu'il n'y a pas de solution pour le bien être de ses enfants que cette situation ne pourra que leur apporter du malheur est donc tue pour les sauver.<br /> la mère étouffant l'enfant pense au départ sauver son enfant mais elle crée un traumatisme à l'enfant qui aura du mal à le dépasser et sera "distant" dans les marques d'affection reçues.<br /> La jalousie EST l'amour car même si elle détruit ; elle montre l'attachement. Quand on aime on a toujours peur de perdre la personne qu'on aime.<br /> Cet homme aime les femmes il a simplement peur de s'engager après il y a ceux qui sont malades de ça qui ne vivent que dans la notion de conquête comme expression de la réalisation de leur virilité.<br /> <br /> Ah j'ai fait.... pavé !!!!!!

Je suis bien d'accord avec vous, Sarah .<br /> Que ne fait-on pas, soit-disant par amour ?<br /> L'amour est indéfinissable, c'est vrai . Tout au plus peut-on dire que l'on sent de l'amour quand on se sent bien avec une personne ou avec soi-même, quand on ne sent aucune ombre, aucune gêne, aucun désir de possession, aucun jugement, quand on est dans le respect et en confiance totale .<br /> <br /> Comment peut-on encore dire : "Il ou elle a tué par amour" ? Quelle aberration !<br /> Comment peut-on encore dire : "Cette mère donne trop d'amour à son enfant", alors qu'elle l'étouffe littéralement de ses propres angoisses ?<br /> Comment peut-on encore dire que la jalousie est de l'amour alors que ce n'est que souffrance et hostilité ?<br /> Comment un homme peut-il encore dire : "J'aime les femmes" alors qu'il ne fait que les convoiter ?

"Aimer, c'est bien, savoir aimer, c'est tout" Châteaubriand.<br /> L'amour pour ma part est indéfinissable et lui donner un sens ou une orientation voire même une notion n'est pas utile.<br /> Pour reprendre la phrase de mon neveu le jour du mariage de ma soeur "L'amour ne se dit pas, il se fait !".<br /> Peu importe que l'on aime ou pas. Même le non-amour est une forme d'amour car cette notion même nécessite l'existence d'un sentiment.<br /> Alors que l'indifférence, elle est l'absence même de tout sentiment par définition.<br /> Certaines personnes dans l'expression de leur sentiments paraissent indifférents sauf pour ceux qui reçoivent cet amour car même le plus "indifférent" va manifester son amour d'une certaine manière par différentes attentions alors que celui qui est indifférent lui va montrer une certaine gentillesse pour masquer justement cette indifférence qui sera l'absence d'intérêt.Cette indifférence ne veut pas dire que l'on aime pas mais que l'on aime différemment. <br /> <br /> Ah quelle drôle de notion que ce mot "Aimer" !

Exposition de travaux d'élèves aujourd'hui . Plein les pattes !<br /> <br /> Personnellement je pense que l'adoration est un terrain glissant qui conduit facilement à la déception . Ensuite la rancune, la colère, le mépris ne sont pas loin : on déteste voir ceux qu'on adore dévier de ce qu'on attend d'eux . On les place sur un piédestal et on ne leur pardonne aucune incartade . <br /> Il est très facile d'aimer quelques personnes mais cela ne suffit pas pour croire qu'on aime tout le monde .<br /> Ne détester personne est déjà une grande chose . N'avoir aucun préjugé, aucune pensée négative ni aucun sentiment hostile . Encore faut-il s'en rendre compte ...<br /> L'amour n'est pas forcément démonstratif . Il peut être tout intérieur, profondément enraciné, extrêmement discret, voire invisible, et passer pour de l'indifférence .

Ce genre de phrase toute faite me semble conduire à une relation bien distante!<br /> Pour moi, aimer ne s'inscrit pas dans une phrase négative!<br /> Aimer, c'est s'ouvrir à l'autre. C'est donner et partager. <br /> N'adorer personne? pourquoi? la passion n'est pas toujours destructrice.<br /> Ne détester personne? Oui, certes, mais faut-il alors privilégier l'indifférence?<br /> Car je ne crois pas que l'on puisse (à moins d'être un saint ou un Dieu) aimer tout le monde.<br /> <br /> Mais je ne suis qu'une femme ordinaire...

Il (elle) ne peut être qu'anonyme pour en arriver à ce point de vue là.<br /> C'est magnifique de Sens et ça me parle vraiment.<br /> Merci Marie hi hi !<br /> Mais pour en arriver là, il en faut des épreuves et la souffrance qui va avec.<br /> Et une sacré dose de compréhension.