Le jeu de "l'égo" consiste à construire une barrière entre nous et le reste...<br /> <br /> <br /> <br /> L'ego construit un enclos, le ferme et dit "ça, c'est moi !".<br /> <br /> C'est à la fois indispensable (pour avoir une identité) et futile (car nous ne sommes pas "séparés" des autres et de ce qui nous entoure)...<br /> <br /> <br /> <br /> Faut faire avec ! :-))<br /> <br /> <br /> <br /> Et ne pas oublier de laisser la barrière "ouverte" !<br /> <br /> <br /> <br /> Amitiés.

Quand l’égo est de moins en moins présent, c’est qu’il n’a plus de prise. En fait, il est toujours présent car indissociable de notre esprit par notre lien permanent entre l’animal et le divin.<br /> <br /> S’il a de moins en moins de prise c’est que l’on parvient à le dissoudre dans la vraie nature de notre esprit, semblable au ciel immaculé… inaltéré.<br /> <br /> <br /> <br /> Ne pas lui donner de prise, c’est avoir toujours cette petite lampe (vigilance) allumée, comme un éveillé devant un obstacle et qui le prend dans ses bras sans lui donner plus d’importance que cela.<br /> <br /> <br /> <br /> Ne pas donner de prise à l’égo c’est le prendre comme il est, non séparé, sans rivalité ni animosité, au contraire avec beaucoup de tendresse et d’amour, lui témoigner son intérêt tout en montrant que notre prise de conscience s’approfondit un peu plus chaque jour sur le chemin.<br /> <br /> <br /> <br /> Ne plus avoir de prise sur l’égo c’est l’associer à chaque action de la vie, le prendre en considération devant chaque obstacle, l’aimer sans lui laisser la possibilité de prendre le dessus.<br /> <br /> <br /> <br /> Ne pas laisser l’égo prendre la place, c’est aussi parfois lui laisser du champ pour s’exprimer car la souffrance est toujours au bord du chemin, chaque fois que l’obstacle imprévu se présente ; c’est ne pas l’étouffer en permanence car la colère ou le chagrin sont souvent nécessaires à l’animal pour rejoindre l’humain et le divin.<br /> <br /> <br /> <br /> Ne pas laisser d’espace à l’égo c’est laisser de l’espace devant chaque événement pour qu’il se fonde en soi, là où le cœur s’ouvre, où l’ange apparaît, où le guide survient et où toutes les énergies fusionnent pour faire naître l’Amour dans la Lumière.

C'est exactement ça l'égo. Va falloir que je penses un peu autres!

Hello Daniel !<br /> <br /> C'est quoi l'égo?<br /> <br /> Peut-être un privilège pour ceux qui n'ont rien d'autre à faire que d'observer leur nombril, qui sait ? <br /> <br /> Bonne nuit .:)

Nous avons besoin de l'ego mais nous ne devons pas devenir esclave de celui-ci. Recul et lucidité sont les deux mamelles de la sagesse.

En effet, ne supprimons pas ce petit monde, c'est une structure dont nous avons besoin mais ouvrons le, comme tu le dis si bien. Amitiés philosophiques.

Ce petit lutin tapageur qui nous aveugle bien souvent. Il empoisonne bien nos vies. Arriver à se regarder avec sincérité et savoir reconnaître quand il opère demande un log travail. Belle journée à vous Daniel. Amitiés. Joëlle

Souhaitons que nos petits mondes s'aiment suffisamment pour s'oublier et se fondre au grand monde de la vie... Un chemin et quel chemin ! Beau week end Daniel. brigitte

"Plus l'égo est fort plus on est fragile."<br /> <br /> C'est un cercle vicieux car plus on se sent fragile plus l'égo fait des siennes, essaye de camoufler en simulant la force. C'est peine perdue car avec ses entourloupettes le malaise grandit. Avec le temps j'ai appris à lacher prise de plus en plus. Le malaise diminue et l'authentique prend de plus en plus de place. Un chemin sans fin...

on a besoin de penser à soi, de se faire plaisir personne ne le fera pour nous mais il faut aussi avoir un regard sur l'autre