Tu me rappelles des souvenirs: le Mont Royal . Quel beau parc avec ses écureuils, ses érables tout rouges et ses grandes allées !

Oui,Daniel,j'aime beaucoup ma ville,j'ai la chance de vivre tout près du jardin botanique,que je visite régulièrement,j'ai marché souvent sur le beau Mont-Royal,et je vais régulièrement à l'île Ste-Hélène,ou j'adore aller m'asseoir au bord de l'eau,avec un bon livre,il y a plusieurs espèces d'oiseaux,et plein de marmottes.<br /> <br /> <br /> <br /> J'aime bien le quartier des spectacles,au centre-ville,où j'ai eu la chance de voir plusieurs spectacles gratuits,des artistes de grand talent,aux francofolies,au festival de jazz,il y a aussi le festival...juste pour rire...des humoristes donnent des spectacles qui sont gratuits,et il y a toujours plein d'activités à cet endroit.<br /> <br /> <br /> <br /> L'ennuie,je ne connais pas ça,ma ville m'offre tant de choses pour me divertir,je suis bien reconnaissante pour cette chance que j'ai.

J'ai bien aimé une série d'émissions sur le métro de Paris,et il y avait également celui de Montréal.<br /> <br /> <br /> <br /> Je ne pense pas que j'aurai la chance un jour de visiter Paris,toutefois,ce fut bien agréable de découvrir cette belle ville à travers ces documentaires<br /> <br /> <br /> <br /> https://youtu.be/oSpNMWapUJ8

L'observation est la Base de toutes les plus grandes découvertes.<br /> C'est le leitmotiv de nos savants.<br /> On observe la nature... on saisit un "fait" qui pourrait passer inaperçu pour le commun des mortels ou encore qui pourrait être anodin pour celui qui ne "voit" pas et hop, ce "fait" nous étonne car on est attentif et notre coeur s'ouvre à ce "fait".<br /> Par l'obserrvation de ce "fait", le savant va émettre des hypothèses et ensuite, il raisonnera par l'"absurde", c'est-à-dire à l'envers. Il démontrera la Cause par la production de l'effet. Ensuite, il partira de l'effet pour revenir à la cause et, de la cause, il fera sa démonstration. Tout cela parce qu'il aura su "observer" un phénomène "latent".<br /> Il en est de même pour notre capacité d'aimer et de comprendre (le soi et l'autre).<br /> On observe car l'observation est la preuve de l'amour que l'on porte (à soi et à autrui). Non pas un amour forcé, mais une volonté affirmée d'"être", en toute simplicité. On ouvre tout. On ouvre en grand. L'observation, c'est "ouvrir en grand", justement "sans préjugés". C'est le premier instant de conscience de ce que l'on regarde, "en pleine conscience". Car la conscience de l'oeil n'est rien sans la conscience mentale qui "voit", avant de juger. C'est ce très court instant de conscience, entre ce qui EST et ce que l'on JUGE, qui détermine notre "Êtreté", là où on est en paix, là où on respire profondément, là où on est tout simplement heureux parce que l'on se situe dans la non dualité, dans la non séparation. Ce n'est qu'après que cela se gâte.<br /> Si l'on observe à l'intérieur, nous ouvrons en grand notre coeur dans l'espace infini de l'amour, de la lumière et de la connaissance. Tout devient possible, TOUT.<br /> Si l'on observe à l'extérieur, cela signifie que nous faisons appel à notre attention.<br /> L'attention, cette intelligence lumineuse, la Base de Tout.<br /> L'attention, premier signe de ce qui EST.<br /> Pour observer, il faut être attentif.<br /> Être attentif, c'est être à l'écoute.... à l'écoute de la nature, à l'écoute de l'autre, à l'écoute de soi.<br /> On s'aperçoit alors que l'Amour, lorsqu'il s'exprime, ouvre en grand notre coeur, notre capacité d'attention, notre sens de l'observation, que notre regard soit tourné vers l'extérieur ou qu'il soit tourné vers l'intérieur.<br /> Quand l'attention liée à l'observation est centrée en un point, dans l'espace infini de notre esprit en paix, la Lumière apparaît.<br /> Alors, plus rien n'empêche la Sagesse d'"être", par l'émergence des pensées induites, ce que nous appelons autrement dit les "intuitions".<br /> Et il n'y a pas d'antagonisme entre la pensée intuitive et la pensée discursive. Elles se complètent.<br /> Quel bonheur !

C'est la vie, la vraie vie Alain. Elle est faite de petits riens. Et pourtant......

Le métro parisien est une course poursuite contre le temps !<br /> Les gens s'affairent de ci de là pour attraper la rame qui les conduira jusqu'à leur destination parfois au péril de leur vie (se retrouver coincé).<br /> <br /> Puis on recherche une petite place histoire de pas rester debout durant le trajet..balloté par la vitesse.<br /> On y rencontre des touristes avec leur guide touristique, leur bagages heureux de découvrir le métro parisien l'odeur caouchouteux, regardant les arrêts, parfois en les citant...<br /> <br /> On y rencontre ceux qui viennent de faire le marché, encombrant les allées de leur sac remplit de provision.<br /> On y rencontre les femmes et des hommes simples moroses attendant patiemment d'arriver à leur destination regardant par la vitre la noirceur du tunnel espérant voir enfin le nom de leur station ; d'autres avec leurs écouteurs à fond nous permettant d'écouter avec eux ou devrais-je dire tenter de déterminer ce qu'ils écoutent.<br /> <br /> Puis enfin il y a les musiciens qui entrent de la rame jouant avec leur accordéons des vieux air Paris.<br /> <br /> Arrivé à la descente dite, la lutte pour sortir de la rame et se frayer un passage pour accéder à la sortie dans les couloirs il y a des exposants d'affiche de cinéma, des joueurs de jazz ou de musiques classiques d'un couloir à l'autre...montrant la diversité de ce monde souterrain, charmant les visiteurs ceux qui s'arrêtent pour écouter.<br /> <br /> Les escaliers se présentent ; une bouffée d'air frais envie la sortie.<br /> Voici Paris ...<br /> <br /> Le Forum des Halles grouillant de visiteurs, la FNAC ...hmmm des livres des livres !...le ciné en vo ou vf puis la sortie petit resto sympa pour manger des glaces ou un repas "exotic" un petit tour dans le vieux "halles" où fromager, boucher, fruits et légumes existent encore ...un petit restaurant italien niché parmi ces étales ...hmm un délice !<br /> <br /> Unn halte dans le parc s'asseoir sur un banc ne plus bouger, ne plus rien faire seulement regarder les autres qui s'affairent, regarder l'aménagement, les plantes environnantes, faire le vide et s'avourer cet instant de détente ...puis c'est reparti !

C'est ainsi que j'aime la vie, que ce soit en ville ou à la campagne.<br /> Marcher en pleine conscience.<br /> Observer les mouvements des uns, des autres, repérer une scène, passer d'un état à un autre.<br /> Cheminer dans la nature, au milieu des oiseaux, autour d'un étang, les pieds dans la rosée, sentir le vent, admirer une fleur venue d'une nuit, écouter tous les sons.<br /> <br /> S'asseoir à une terrasse d'un café, voir toutes sortes de gens passer, sourire parfois puis devenir distrait dans l'absorption d'une pensée enchaînée à une autre, ce qui fait perdre le fil de l'instant, pendant un moment.<br /> Inspirer puis expirer, le plexus collé au tronc d'un chêne, récupérer son énergie, évacuer ses angoisses, pousser un grand cri qui déchire l'espace, admirer une église romane en forme de croix, tournée à l'est, vers Jérusalem.<br /> <br /> Rentrer chez soi, s'asseoir un moment pour lire un peu, avant de s'affairer, éplucher, cuisiner, écouter de la musique, manger, s'assoupir et basculer dans un monde parallèle, fabriqué par ses pensées émergées d'un karma.<br /> <br /> Puis se réveiller, aller s'asseoir à nouveau, se recueillir et méditer, encore et encore, trouver la paix, calmer son esprit, le déposer, entrer dans la lumière, s'en imprégner, se connecter, demeurer ainsi, le temps de la félicité...<br /> <br /> Et recommencer...

Les mouvements libérateurs que connaissent en ce moment les pays du maghreb vont changer complètement la donne au niveau Géopolitique.<br /> Quelle va être l'impact de ces changements les accords passés vont-ils perdurer ?<br /> <br /> Ces pays accédant à la démocratie ou voulant aller vers la démocratie n'ont-ils pas un risque de tomber dans l'islamisation.<br /> En Tunisie c'est peu probable mais en Egypte c'est un risque.<br /> <br /> Si cette situation devait se réaliser quelle serait les conséquences dans le rapport de force avec le HAMAS et ISRAEL.<br /> L'Egypte pourrait renforcer les bases islamistes ..<br /> <br /> Bref une grande joie mais de grandes questions à l'horizon....<br /> <br /> L'Aglérie en ce moment connait des mouvements sociaux va-t-elle elle aussi connaitre sa révolution ?<br /> <br /> Ces pays "ruinés" pourront-t-ils faire face à l'attente des peuples après les jours de liesse...<br /> Avant de nous réjouir même si c'est un grand pas pour l'humanité il faut être patient et voir comment les choses vont évoluer.

Je souhaite sincèrement que l'Egypte, ce grand pays, accède à la démocratie.<br /> Néanmoins en ce moment l'armée assure l'intérim.<br /> Il faut espérer qu'il n'y aura pas de réveil douloureux ....<br /> <br /> Prochain pays ..hmm l'Algérie ?

Oui un grand jour, la dictature est tombée sans trop de sang répandu. De plus en plus les peuples acquièrent une maturité sociale et politique. <br /> A qui le prochain tour parmi les dictateurs?

Aujourd'hui 11/02/2011, les pharaons d'Egypte sont sortis de leur tombe . L'énergie des pyramides, libérée, se répand sur le monde .

Pareil, moi, Daniel...<br /> Je file chez ma mère...<br /> Faire un tour avec elle, au jardin...

Moi aussi j'aime regarder la vie. Je m'assois à la terrasse d'un café et j'observe les gens qui passent. Sur ce point Paris est un endroit intéressant, ça grouille !!<br /> Le temps étant magnifique, aujourd'hui, je quitte l'ordinateur pour aller dans le jardin faire quelques travaux. Je vais commencer à tailler

Super ! Daniel, ce petit goût du métropolitain me plonge dans l'ambiance parisienne que j'ai connue en 1976, puis en 1982. Ne me manquent que le bruit et l'odeur ... Vraiment on s'y croirait. Et c'est si raconté avec tant de naturel.<br /> Il m'est toujours agréable d'observer la vie qui court autour de soi. Arrêter le temps quelques instants. Il m'arrivait parfois de m'asseoir sur un banc dans un jardin public, regardant les enfants courir et jouer, dans une frêle insouciance, sous le doux soleil de printemps.<br /> Les crocus et les jonquilles perçant de leur nez taquin le frais gazon vert.