Dans les commentaires du blog, Marie-Christine posait la question suivante"Qu'est ce qui nous relie?". J'ai trouvé cet extrait d'un entretien avec Amma qui peut répondre partiellement à la question.

"....Une autre façon d'améliorer le monde passe par la compassion des personne riches pour les personnes pauvres. Le monde est un tout. C'est stupide  de se penser comme des îles isolées. Il n'y a pas , les uns d'un côté et les autres sur des îles désertes séparées du reste. Nous sommes tous la perle d'un même collier, reliés par le même fil d'amour. Nous sommes tous reliés. Ne penser qu'à soi, rester séparé et profiter du monde est stupide et n'a aucun sens.

Attendre que les autres changent ne marche pas non plus. Il est nécessaire de changer soi-même. En changeant soi-même, alors les autres peuvent changer.

.......Seul un effort unifié de tous les domaines, politique, social, religieux, spirituel, artistique peut apporter le changement. Que chacun se consulte et soit dévoué. Il est nécessaire de se rassembler, d'oeuvrer tous ensemble avec dévouement . Il faut se rassembler pour apporter le changement. Actuellement, on assiste encore à trop d'individualisme. il faut combiner nos efforts et nous unir pour apporter le changement."

Mata Amritanandamayi Devi ( Amma): extrait de l'entretien réalisé par JP Chometon pour la revue"le 3e millénaire"

Mata Amritanandamayi, née en 1953 est une figure spirituelle contemporaine de l’Inde et la fondatrice d'une ONG (« Embracing the World ») à but humanitaire et écologique dont le siège est au Kérala(extrême Sud-Ouest de l'Inde). Appelée communément Amma (« Mère » en Hindi), cette représentante de l'hindouisme lpropose un message qui se veut universel, une religion de l'« Amour »

Lors d'assemblées baptisées  Darshan, au cours desquelles elle prend des milliers de personnes tour à tour dans ses bras, elle aurait rencontré au total des millions d'individus de par le monde. Amma vient chaque année en France, à Pontoise et dans le sud à Toulon et semble rencontrer beaucoup de succès.

Source: Wikipédia