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Les voies de l'âme
25 mars 2010

kinski, le peintre de la lumière

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Henrik Kinski est né en Pologne dans une famille de musiciens et d’artistes.

Il a étudié pendant sept ans aux Beaux-arts de Szczecin et de Varsovie, des écoles très structurales et rigoureuses où il acquiert une très grande technique. Durant cette période, il s’imprègne de maîtres anciens dont Cézanne et Bacon qu’il admire et qui l’ont marqué.

En 1978 après une année d’études à la Sorbonne, il réalise enfin son rêve et entre à l’Ecole Nationale des Beaux-arts de Paris qu’il fréquentera jusqu’en 1985. Ces années passées au Beaux-arts de Paris, lui ont permis de s’exprimer avec plus de liberté et d’approfondir encore davantage son art. On comprend que la richesse de ses connaissances sur l’art et l’imprégnation de celles-ci sont hors paires parmi ses contemporains

Ses œuvres récentes s’inspirent de femmes, de nus, de la maternité, de natures mortes ou encore de variations musicales.

C’est la composition picturale qui induit le thème abordé dans ses toiles et qui se développe au fur et à mesure de l’évolution de l’œuvre. L’élément figuratif n’est en fait qu’une émanation de la composition des couleurs et des formes abstraites. La maîtrise des couleurs et de la lumière le conduise vers un jeu de lumières qui lui permet de définir les mouvements et les formes, lui laissant ainsi toute la liberté de s’exprimer et de créer. Il joue sur la lumière et sur une superposition de couleurs comme révélées derrière un "prisme" qui le conduit presque à l'abstrait.

Depuis 1983, il expose avec un succès croissant en France, aux Etats-Unis, au Canada, au Japon et à Hong-Kong. Ses œuvres enrichissent de nombreuses collections privées.

http://www.hkinski.com/



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J’ai rencontré Kinski il y a déjà plusieurs années. Il a habité longtemps près de chez moi et c’était donc facile d’aller voir son travail. Tout de suite ses tableaux m’ont touché car cela correspond exactement à l’idée que je me fais de la peinture. J’en ai donc acheté plusieurs qui tous les jours accrochent mon regard. Ce que j’aime chez Kinski, c’est sa technique extraordinaire qui lui permet de maîtriser la lumière et cette impression de transparence.

Peinture raffinée où les formes se fondent dans une espèce d’apesanteur et dans un climat de douceur. Je le revois de temps en temps. Il a déménagé et vit au Canada mais il a conservé une galerie d’art à Port Haliguen, en Bretagne où je vais assez souvent en vacances. Merveilleux peintre qui devient de plus en plus connu et dont le prix des toiles augmentent !! Mais quelle sensibilité !!

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Daniel

Commentaires
D
Je suis triste d'apprendre la mort de Kinski. J'aimais beaucoup son travail de peintre. Il m'avait apporter beaucoup d'émotions et c'était un être charmant. Quelle belle oeuvre va -t-il laisser.
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F
bonjour, jefaisais une recherche sur Henrik et j'ai trouv é votre site<br /> <br /> nouvelle triste. henrik est décédé au Canada le vendredi 23 décembre 2011 à l'age de 57 ans....<br /> <br /> j'étais une de ses amis -voisine - collègue à Quiberon <br /> <br /> et je suis triste.<br /> <br /> Françoise
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P
Je pense que beaucoup de personnes souffrantes de fibromyalgie sont victimes de troubles d'équilibre de la mâchoire<br /> <br /> http://amzn.to/eaU1hA
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A
La Vie du Christ est l'exemple même de ce que la souffrance n'existe que par ce qu'il en a fait pour mieux la comprendre. La Libération passe inéluctablement par celle-ci. C'est par son acceptation et sa force nourricière que nous évoluons sur le chemin.
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E
PHANEG
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A
Tout est esprit. La matière est esprit, l'esprit est matière. La forme est vide, le vide est forme. Il n'y a rien d'autre.
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M
"N'oublie jamais que l'esprit est plus fort que la matière, que l'esprit peut tout créer, aussi bien le désagréable que l'agréable, le mauvais comme le bon ."<br /> (les guides de lumière)
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A
Pardon à vous tous !<br /> Merci PLV !<br /> <br /> Lytta BASSET.<br /> <br /> Les larmes coulent tout au long de cette interview exceptionnelle.<br /> Pardonnez-moi de vous abreuver de certains des instants intenses de ce questionnaire !<br /> Rarement dans cette vie, je n'ai été autant relié à un être.<br /> <br /> <br /> <br /> "Soit tu vis vraiment, soit tu ne vis pas du tout. M’installer dans un entre-deux aurait été m’enterrer avec Samuel.<br /> <br /> Sois froid ou chaud, mais ne reste pas tiède ! L’entre-deux est le lieu de la confusion.<br /> <br /> Être heureux, c’est abandonner son enfant.<br /> <br /> Être relié, c’est vivre le Royaume... Quand on souffre, l’important est de se tenir à proximité des autres, dans une « relation à tout prix ». Mais si, dans ce temps d’anéantissement, j’ai été capable d’accueillir tous les petits riens qu’offre le quotidien, c’est probablement parce que j’avais déjà mesuré, lors de ma dépression, l’impasse totale qu’est le « souffrir sans »... <br /> J’avais visité et démonté, dans mes années de travail thérapeutique, ce piège qui consiste à fermer portes et fenêtres. On dévalorise alors toutes les minuscules choses qui arrivent : on juge qu’elles ne sont rien comparées à l’abîme de souffrance que l’on traverse. C’est une voie de garage. J’ai donc pris la décision intérieure de m’ouvrir aux petits riens. Je ne ressentais rien, mais je les voyais et je les notais chaque jour sur un cahier. Regarder les petits riens avec conscience, à tout hasard, a, en fait, été capital. Vital.<br /> <br /> C’est le regard qui change tout. Quelle valeur donne-t-on aux choses ? Rien ne nous prouve aujourd’hui que les petits riens ne conduisent pas à un grand tout.<br /> <br /> « consentir, c’est être sauvé »...<br /> <br /> On dit de celui qui pleure et exprime sa détresse qu’il est un être faible. L’expérience me fait dire qu’au contraire il est sur le chemin de sa plus grande force...<br /> <br /> Nous avons une tendance à minimiser les petits gestes que l’on fait pour les autres.<br /> <br /> Il n’y a pas ceux qui ont « la trempe » d’y aller et les autres. Il y a un moment où il n’y a tout simplement pas d’autre direction à prendre, comme l’enfant qui jaillit au monde lors de l’accouchement. J’ai été obligée d’avancer, d’aller voir. En particulier, pourquoi me sentais-je coupable du matin au soir ? Pourquoi, en toutes circonstances, c’était toujours de ma faute ?! Je n’avais pourtant tué ni père ni mère, ni rien fait de particulier... Ce sujet rencontre un très fort écho : mes conférences sur la culpabilité font salle comble, dans tous les pays où je passe ! Comme ceux qui disent « j’ai tout pour être heureux mais, je ne comprends pas pourquoi, je suis en souffrance », je sentais bien qu’une pièce manquait au puzzle. Dans la vie, j’ai besoin que ce qui arrive ait du sens. Cette rage de comprendre a toujours été mon moteur.<br /> <br /> Il n’y a pas de vie sans souffrance. La blessure peut être intégrée au fur et à mesure comme faisant partie de la vie, grâce à un entourage aimant et à l’écoute.<br /> <br /> Pendant longtemps, je n’ai pas eu accès à ma colère, car j’étais trop détruite pour cela. Quand la blessure est ancienne, le temps de colère est incontournable. Aujourd’hui, j’ai évacué toutes mes vieilles colères refoulées et je peux me permettre de consacrer moins de temps à l’état colérique. C’est une perte de temps : on doit attendre qu’elle refroidisse pour passer à une lutte efficace contre l’inadmissible. Là est le véritable enjeu. Je rassemble désormais mon énergie pour parvenir plus vite à l’étape suivante... Pour autant, je ne reste pas impassible devant le mal subi. Ainsi, avec les personnes qui me racontent leur histoire et que j’accompagne, je m’aperçois que ma colère est souvent plus forte que la leur. Cela leur permet de prendre peu à peu conscience qu’il y a, dans la façon dont ils ont été ou sont traités, une anomalie. La révolte qu’ils lisent sur mon visage les ouvre à quelque chose qui sourd en eux.<br /> J’ai désormais le mode d’emploi de la colère : quand elle monte, je l’accueille. Je ne décolère pas pendant des jours, je respecte ce bouillonnement. Puis elle se dégonfle comme une baudruche ; je suis alors prête à agir.<br /> <br /> Dès que le regard se tourne vers l’avant, on commence à entrevoir que l’on peut faire quelque chose du malheur. Il peut déboucher sur un partage qui va créer du lien et aider les autres. Il m’est apparu urgent d’arrêter de regarder en arrière en recherchant les causes du malheur : l’issue n’était pas là. Les autres et le tout Autre ne cessent de solliciter en moi ce qui me tire en avant. Ma question est donc désormais : pourquoi suis-je là ? En vue de quoi ? Vers quoi est-ce que je marche ?"
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M
Pas question de se laisser abattre, hein, les p'tits loups ! Vaillante Eve Lyne ...<br /> Si le soleil a disparu du ciel, c'est parce qu'il s'est caché dans les coeurs (ah, ah !)<br /> L'Arche tangue mais ne chavire pas .
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E
Merci, Marie, l'intelligence plus l'instruction, quelle alchimie!
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M
"Ce que tu es est un cadeau de Dieu .<br /> Ce que tu deviens est ton cadeau à Dieu ."<br /> (Robert H. Schuller)
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E
mais, tant pis, j'vous le donne comme je l'ai reçu à l'instant même : c'est pas parceque l'on croit que l'on a plus rien à faire, parceque on baisse les bras... On peut encore aider les autres à faire quelque chose!
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E
En fait, en regardant bien, on dirait : un Daum
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E
En fait, en regardant bien, n'est-ce pas plutôt une licorne?
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E
Beau témoignage que celui de lytta Basset. Parfois, le découragement me gagne, au milieu de la souffrance des êtres désemparés devant un corps de glace qui ne répond plus, mais qui attend encore le geste de plus, pour la libération. Ce geste dont on ose à peine parler parcequ'il est tabou . A chaque fois, pourtant, ce tourbillon d'air qui tourne dans la paume de la main et qui s'évapore dans l'atmosphère, telle une dernière poignée de main, un sourire, une caresse... Enfin, elle lâche son vètement, cette âme... Au milieu de la souffrance de ceux qui restent. Encore une fois, portée par cette présence " Viens, suis-moi ", juste avant que le découragement ne me gagne. <br /> Merci, PLV
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P
Connaissez-vous cet entretien ?<br /> http://www.nouvellescles.com/article.php3?id_article=1388<br /> Au niveau de la souffrance, elle en connaît un rayon, si je puis dire ...
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P
Je suis très touché de constater votre bienveillance à mon égard. Merci les amis !<br /> Plusieurs raisons à mon silence :<br /> J'ai eu plein de dossiers dans mon job.<br /> J'ai eu des travaux à mon domicile.<br /> J'ai programmé des WE assez denses.<br /> J'ai un peu moins "vibré" aux récents articles de mon ami Daniel ; donc pas trop envie de réagir ...<br /> J'ai donné priorité aux amis "non-virtuels" : Vous savez, repas au coin du feu, petit CD avec les hymnes d'En-Calcat ... Super sympa !<br /> Et puis recherche d'articles ou photos pour mon blog.<br /> Bref tout ça pour dire que je vous aime encore.<br /> Rassurez-vous, je reviendrai encore pour corriger les fôtes de notre petit Nemrod : "nuitée" par exemple ....
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M
Heureuse d'avoir de vos nouvelles, PLV, Nemrod, Andrée ! On s'inquiétait ...<br /> Merci Alain d'avoir exprimé "à haute voix" nos préoccupations .<br /> Des énergies nouvelles nous malmènent mais il faut se dire qu'elles sont porteuses d'une régénération prochaine .<br /> Mes encouragements et mon affection à tous et toutes .
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F
Quel talent ! A vous couper le souffle !Composition, couleur, lumière, fluidité du mouvement, transparence ... quel art !
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E
A cette époque de l'année il y a beaucoup de décés en tout genre. Une dame vient de se jeter du cinquième étage de son immeuble, après avoir perdu son conjoint. La veille, elle disait qu'elle ne pourrait pas vivre sans lui. Une autre vient de partir après de longs mois de souffrance, le funérarium est une épreuve à chaque fois. Une autre renaît à la vie, après l'abblation d'un sein.<br /> Bonne journée à tous.<br /> J'aime beaucoup le cheval blanc, on dirait qu'il est en crital.
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A
bonjour à tous et toutes<br /> <br /> et bien chaque année je suis atteinte de cette fibromyalgie qui me cloue au lit avec des douleurs terribles impossible de les calmer comme je connais bien cette m.....e j'arrive à travailler et faire avec.<br /> <br /> Merci Alain moi aussi je vous embrasse hier serge à eu 66 ans et malgrè les doigts endoloris par les crampes j'ai fait sa tarte.<br /> <br /> si jamais on se laisse aller avec cette m***e on est fichu donc je vous écris avec des douleurs mais le coeur y est est là c'est un sacré moteur car si le moral n'y est pas, vous me le redonnez en pensant si gentiment à moi.<br /> <br /> merci à bientôt<br /> <br /> et bravo pour ce peintre si doux !!! merci Daniel<br /> <br /> aujourd'hui j'ai envoyé la newletter de l'espace 34 et elle est très appréciée par mes filles non voyantes car même si elle n'ont pas la vue elle entendent Merci pour elle et pour moi aussi<br /> <br /> bonne nuit à bientôt
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N
Bonjour Alain !<br /> <br /> Je ne suis pas en vacances avec PLV ..mais un travail harasant et des problèmes à régler font que je suis occupé.<br /> <br /> Malade ..bah j'en sors et j'y retourne ..maintenant c'est le pollen !<br /> <br /> Quant à PLV je l'ignore ..peut-être une cabane au fond du jardin !<br /> <br /> Merci de prendre de nos nouvelles.<br /> <br /> Bonne nuité à tous !
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A
Raffinement.<br /> Oeuvre.<br /> Je vous l'ai dit, je suis épuisé.
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A
Beaucoup de grâce et aussi du romantisme. De la légèreté, de la finesse, du raffinemment. De la féminité sans doute.<br /> De la douceur aussi, de la paix ; de l'Amour en quelque sorte.<br /> C'est difficile d'exprimer car il faudrait voir ces peintures pour ressentir vraiment.<br /> Tu parles de la lumière Daniel.<br /> La lumière est souvent recherchée dans les ouvres des grands artistes, pas forcément exprimée de la même manière.<br /> La peinture est un art que j'aime et là, il y a quelque chose qui nous guérit.<br /> <br /> Au fait, que se passe-t-il d'un seul coup ?<br /> PLV et Nemrod seraient-ils en vacances ensemble où seraient-ils malades ?<br /> En tout cas, je leur transmets mon bonjour à tous deux.<br /> <br /> Et la petite Sarah ! Elle me manque.<br /> <br /> Andrée ! Vous disiez que la montée de la sève vous fatiguait. Comme je comprends. Je suis moi-même épuisé ! Je vous embrasse.<br /> <br /> Qui êtes-vous SUNDANCE, si je puis me permettre ?
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M
Oui, c'est plein de délicatesse et de raffinement .<br /> Je dirais que c'est plein de féminité, dans son sens le plus beau et le plus noble .
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