
Un mois de mars à Bénares. C’était il y a cinq ans.
La chaleur est étouffante et les rues étroites, telles des lézards alanguis, descendent jusqu’au Gange. Une foule grouillante se presse vers le fleuve sacré. La circulation est dense et les rickshaw (sorte de vespa aménagée en voiturette) zigzaguent à travers tous les obstacles faisant fi de tous les dangers. Les vaches (qui sont sacrées) errent dans les rues, indifférentes à cette agitation. La ville grouille de monde et s’agite. Des familles...
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