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Les voies de l'âme
5 mars 2011

Interrogation

reve

 

Ce matin, je me suis levé fatigué, très fatigué, vide d'énergie. Je tournais en rond sans  rien faire. Je ne voyais même pas le jardin qui s'offrait à mon regard. Depuis une semaine je reste éveillé une bonne partie de la nuit, tiraillé par des douleurs liées à un état de santé déficient. Difficile de récupérer....

Dans ces moments de fragilité, j'ai remarqué que mon comportement et ma façon de vivre changeaient totalement. Mes centres d'intérêts habituels se font moin présents et ce qui était important ne l'est plus. D'autres priorités se font jour dans ma tête. Mes pensées ne sont plus les mêmes.

Je parle moins, je m'intériorise et mobilise mon esprit sur la douleur, sur la façon de la gérer le mieux possible. Je vois le monde autrement. En fait, c'est comme si un basculement s'était opéré en moi: moins d'extériorité pour plus d'intériorité. Tout cela m'amène à me poser finalement cette question: Est ce que le monde qui m'entoure est à mon image. N'est-il pas immuable et n'est ce pas moi qui le façonne selon mes comportements, pensées et sensations?

Daniel

Commentaires
A
2.) La vérité sur l'origine de la souffrance.<br /> "Voici, ô moines, la noble vérité sur l'origine de la souffrance. C'est cette soif qui produit la renaissance, le re-devenir, qui est liée à une avidité passionnée et qui trouve un nouveau plaisir ici ou là, c'est-à-dire la soif des plaisirs des sens, celle de l'existence et du devenir et celle de la non-existence".<br /> <br /> La deuxième vérité concerne l'étiologie de la maladie dont les êtres souffrants sont affectés. Pour éliminer le mal, il faut en connaître l'origine. La soif dont il est question ici est un désir avide, insatiable, présenté comme la cause la plus évidente de la souffrance, mais non la seule. Elle a la nature du désir-attachement et se manifeste à l'égard de tous les objets, dans toutes les occasions.<br /> <br /> On en distingue trois principales :<br /> 1. La soif des plaisirs des sens.<br /> 2. La soif de l'existence en devenir.<br /> 3. La soif d'annihilation ou de non-existence.<br /> <br /> Avec la soif, ce sont toutes les passions issues de l'ignorance qui sont désignées comme les causes de la souffrance. Les passions sont en effet à l'origine de nos actes. Or la souffrance que nous éprouvons ne nous est pas imposée de l'extérieur, par Dieu, les esprits ou autre chose. Ce sont nos propres actions qui sont en cause. En proie aux souillures que sont les passions, les êtres entreprennent des actions physiques ou mentales qui sont la cause de leurs souffrances futures.<br /> Telle est la racine de la souffrance que l'on doit abandonner.<br /> <br /> Dans un prochain post, nous verrons la troisième noble vérité, "la vérité de la cessation de la souffrance".
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M
Il se trouve qu'autour de moi, plusieurs personnes souffrent terriblement dans leur corps et dans leur coeur. Après une greffe difficile et un fils atteint d'un cancer du sang, Catherine entend le chirurgien parler de la réopérer... Elle ne peut aller voir son fils pour lui dire son amour et elle ne sait plus trop où elle en est.<br /> Alors, j'ai écrit pour elle ce poème, pour elle et pour tous ceux qui se posent cette question:<br /> faut-il mourir ou vivre?<br /> <br /> Je marche dans la rue perdue dans les ténèbres<br /> Sans penser un instant où conduisent mes pas,<br /> Autour de moi s’étirent mille pensées funèbres<br /> De celles qui me font penser à mon trépas.<br /> <br /> Je souffre dans mon corps, je souffre dans mon âme<br /> Et les doigts de la mort s’agrippent tout puissants<br /> À mes reins, à mon sang, à mon cœur qui s’enflamme ;<br /> Grimaçant de douleur, j’avance en trébuchant.<br /> <br /> Progressant lentement sur le chemin de ronde<br /> Je cherche des raisons de vivre encore un jour<br /> Dois-je encore me battre, chaque heure, chaque seconde ?<br /> Ou dire « J’ai atteint le point de non-retour » ?<br /> <br /> Vaincre la maladie ou fermer les paupières<br /> Et attendre la mort qui viendra me chercher<br /> Ma raison ne sait plus ni l’art ni la manière<br /> De sortir de la vie ou de m’y accrocher.<br /> <br /> Au pied de la statue de Gérard de Nerval<br /> Je m’assieds un instant, je suis si fatiguée !<br /> Tu me rejoins enfin, sortant de l’hôpital,<br /> Je crierais de bonheur si je n’étais droguée.<br /> <br /> Doucement tu me parles et tu me réconfortes<br /> Les résultats sont bons…Espoir de guérison.<br /> J’oublie tout. Avec toi, je serai la plus forte<br /> Rentrons si tu veux bien, ensemble à la maison.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> faut-il mourir ou vivre,
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D
Oui tout est lié. Il y a toujours une raison à la maladie. Ce doit être une façon d'expulser des choses en nous. Aujourd'hui, je vais beaucoup mieux.
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M
Tout d'abord, je voudrais te dire que j'aime cette toile qui m'évoque une femme-fée qui lâche ses pensées,douces ou douloureuses dans une myriade de bulles multicolores.<br /> Et puis, cette souffrance physique qui te noue, n'est-elle pas un peu liée à cette autre souffrance qui a bouleversé ta vie? Pour moi, tout est lié... et un peu avec le yoga, un peu avec la force de l'amour, et un peu avec la puissance du partage, je m'efforce d'oublier les moments difficiles.<br /> Je ne sais pas très bien dire les choses,mais ...<br /> Soigne-toi bien, quand même!<br /> La vie est si belle malgré tout.
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S
"La souffrance est l'une des grandes questions posées à la conscience des hommes. <br /> <br /> Mais quelle est donc son Origine ?<br /> <br /> Si l'on se base sur la bible on découvre que la bible peut ouvrir une voie en nous invitant surtout à sortir d'un schéma tout fait qui rendrait Dieu responsable de tous les malheurs du monde et des hommes. Dieu n'est pas la cause première de nos souffrances ; au contraire, la Bible nous montre que Dieu, qui est à l'origine de la vie, ne voit aucun bien dans la souffrance. Il ne lui attribue aucune valeur positive.<br /> <br /> Dieu a créé l'homme pour le bonheur de la vie, à son image, libre d'agir, responsable, capable d'inventer et de gérer ce monde. Le désordre et le mal sont apparus dans l'univers, provoqués par la créature qui s'oppose au Dieu créateur.<br /> <br /> La souffrance, conséquence du mal, mais ce mal est le fait de l'homme.<br /> <br /> De même on peut considéré que la souffrance n'est pas une punition de Dieu d'ailleurs Jésus est très clair sur ce point lorsqu'il dit à propos de l'aveugle-né: "qui a péché ou qui a fait le mal, lui ou ses parents? Ni lui ni ses parents" (Evangile selon Jean 9, 2-3), et de la tour de Siloé : "et ces dix-huit personnes sur lesquelles est tombée la tour de Siloé et qu'elle a tuées, pensez-vous qu'elles étaient plus coupables que les autres habitants de Jérusalem?" (Evangile selon Luc 13, 4). Pour Jésus la souffrance ne saurait être le châtiment d'un péché.<br /> <br /> Ainsi la souffrance n'est pas quelque chose que l'homme doive offrir à Dieu. Elle n'est pas non plus un prix à payer. Il ne s'agit pas de racheter le mal. Dieu n'est pas un Dieu vengeur, ni un Dieu qui prendrait plaisir à la souffrance de l' homme.<br /> <br /> La souffrance n'est pas non plus rédemptrice : elle n'est pas une oeuvre qui nous fait gagner la faveur de Dieu. Dans la Bible la rédemption est toujours libération. La souffrance, elle, n'est en aucun cas libératrice ; au contraire elle aliène, elle est un handicap. Seul l'amour, l'humanisation peuvent nous libérer.<br /> <br /> De ce fait face à la souffrance nous ne devons pas nous résigner car se résigner est contraire à la volonté de Dieu. Ainsi parle Dieu: "J'ai entendu ta prière et j'ai vu tes larmes... Je te délivrerai" (Esaïe 38, 5-6). Dieu est sensible à notre cri, même à notre révolte. Dans la souffrance, il est proche de nous. L'homme n'a pas à se résigner. Job, le juste, ne supporte plus le discours de ses amis qui ont vainement essayé de le consoler, à leur manière, et même de donner une explication à sa souffrance. Il en appelle à Dieu, car il veut en savoir davantage. La prière confiante de Job n'est pas déçue, Dieu intervient, il n'élude pas ses questions. Au contraire il les prend en compte. Une relation s'établit entre lui et Dieu. Job découvre en Dieu un vis-à-vis qui a la volonté de le rétablir. Il en témoigne : "maintenant mes yeux t'ont vu" (Job 42, 5), "je sais que mon rédempteur est vivant" (Job 19, 25).<br /> <br /> La souffrance bouleversent nos certitudes, notre foi et il est de plus en plus difficile de tricher avec nous-mêmes et avec les autres.<br /> <br /> Pour reprendre une citation de Paul Claudel "Dieu n'est pas venu supprimer la souffrance. Il n'est même pas venu l'expliquer. Il est venu la remplir de sa présence. Oui, il est venu l'assumer, la transcender, la glorifier. Et, par sa résurrection nous assurer que l'acceptation de la croix est le gage de notre délivrance"" <br /> (Paul Heilmann)<br /> <br /> Si on résume l'intervention on peut citer le livre de Job :<br /> <br /> "Pour toi, si tu diriges ton coeur vers Dieu, et que tu étendes vers lui tes bras, <br /> si tu éloignes l'iniquité qui est dans tes mains, et que tu ne laisses pas l'injustice habiter sous ta tente, <br /> alors tu lèveras ton front sans tache, tu seras inébranlable et tu ne craindras plus. <br /> Tu oublieras alors tes souffrances, tu t'en souviendras comme des eaux écoulées; <br /> L'avenir se lèvera pour toi plus brillant que le midi, les ténèbres se changeront en aurore. <br /> Tu seras plein de confiance, et ton attente ne sera pas veine; tu regarderas autour de toi, et tu te coucheras tranquille " (Job Ch 11, versets 13 à 18)
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E
Par la souffrance, on est amenés à s'examiner.<br /> Rendus à l'humilité.<br /> "Hors la souffrance point de salut"<br /> <br /> "Possédez vos âmes par la patience"<br /> <br /> L'image du Christ crucifié est aussi significative que l'image du Bouddha en état de méditation.
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D
Ta réponse correspond bien à ce que j'ai vécu. J'avais mal et je me suis placé dans l'acceptation de la douleur. Souvent les épreuves peuvent entraîner en nous des déclics pour comprendre certaines choses. Cette douleur est arrivée à un moment où je me posais beaucoup de questions !!( a vrai dire, je me pose souvent des questions !).
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A
Tant que l'on n'a pas éprouvé la souffrance, les discours sont difficilement valides.<br /> <br /> Ce n'est pas par hasard si le Bouddha, quarante-neuf jours après son Eveil, lors de son premier sermon, dit de Bénarès, mit en mouvement la roue du Dhama (enseignement) pour la première fois en prononçant l'enseignement des quatre nobles vérités devant ses cinq premiers disciples. Ce sermon constitue le coeur du Dharma :<br /> <br /> 1). La vérité de la souffrance<br /> "Voici, ô moines, la noble vérité sur la souffrance : la naissance est souffrance, la vieillesse est souffrance, la maladie est souffrance, la mort est souffrance, être uni à ce que l'on n'aime pas est souffrance, être séparé de ce que l'on aime est souffrance, ne pas obtenir ce que l'on désire est souffrance. En résumé, les cinq agrégats d'attachement sont souffrance". (les formes ; les sensations ; les perceptions, sentiments ou notions ; les formations karmiques ou volitionnelles ; la conscience).<br /> <br /> La première vérité est un diagnostic, la constatation que l'existence conditionnée est tout entière dominée ou imprégnée par la souffrance. Le mot dukkha (souffrance) implique les notions de soufrance, de frustation, de mal-être, d'imperfection. Même les moments de bonheur sont dukkha parce qu'impermanents.<br /> <br /> Le Bouddha a énoncé huit types de souffrance :<br /> 1. La naissance est souffrance parce qu'elle est le support des autres souffrances et à cause de l'obstruction lors de la naissance.<br /> 2. La vieillesse est souffrance à cause de la dégradation dans le temps.<br /> 3. La maladie est souffrance à cause de la transformation et du déséquilibre des éléments.<br /> 4. La mort est souffrance à cause de la perte de la vie.<br /> 5. Être uni à ce que l'on n'aime pas est souffrance à cause de cette association non souhaitée.<br /> 6. être séparé de ce que l'on aime est souffrance à cause même de cette séparation.<br /> 7. Ne pas obtenir ce que l'on désire est souffrance à cause de la non-obtention du résultat escompté.<br /> 8. Les cinq agrégats d'attachement sont souffrance à cause de la turbulence produite par leur réunion ou leur désunion.<br /> <br /> On peut résumer ces huit souffrances en trois types de souffrance :<br /> 1. La souffrance de la souffrance, qui contient les souffrances évidentes telles que les souffrances de la naissance, de la vieillesse, de la maladie, de la mort, d'être uni avec ce que l'on n'aime pas. Elle inclut aussi la souffrance que nous provoquons par nos efforts pour échapper à la douleur.<br /> 2. La souffrance du changement : tout phénomène composé est transitoire et cette impermanence est souffrance. On regroupe ainsi la souffrance d'être séparé de ce que l'on aime et celle de ne pas obtenir ce que l'on désire.<br /> 3. La souffrance omniprésente ou souffrance en formation, produite par les états conditionnés et liée aux cinq agrégats d'attachement. C'est la nature profondément insatisfaisante de l'existence conditionnée du samsara (le cycle des existences conditionnées), l'imperfection, le caractère vain des différentes activités qui nous occupent et la frustation fondamentale qui en découle.<br /> <br /> Dans un prochain post, nous verrons la deuxième noble vérité, "la vérité sur l'origine de la souffrance".
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E
Pour sûr, maty, quand les douleurs sont intolérables,on est rendu à notre petitesse.<br /> Pour moi-même, la prière a opéré bien souvent des miracles dont je ne connais pas le mystère.<br /> Celà EST.<br /> Chaque instant est un nectar quand on a mal nulle part.<br /> <br /> Gros mimi, maty.
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M
Oui Daniel, la douleur physique à ce pouvoir de nous vider de notre énergie et ça ne prend pas longtemps. <br /> Je suis tombé en pelletant et me suis fais mal au poignet. Rien de cassé mais quelques heures plus tard un mal insupportable me saute dessus, on dirait le poignet emprisonné dans un étau de fer,plus rien ne bouge et ça fait mal.<br /> Je me fais des compresses d'argile, me couche. Impossible de dormir ça fait de plus en plus mal. <br /> Dans ces moments-là ce n'est pas long un retour en moi se passe automatiquement.<br /> Qu'est-ce que j'ai à comprendre? La première réponse qui m'est venu "Accepter". Et tout s'est enclenché. Je me suis tourné en moi et demandé de l'aide. De l'aide pour accepté, de l'aide pour supporter le mal, de l'aide pour ressentir la joie qui continue de m'habiter. J'ai continué l'argile et une heure plus tard je me suis endormi le mal était parti.<br /> Je n'aime pas avoir mal mais j'aime ces retours obligés, en quelques sortes, en moi. <br /> Ça m'apprend l'appréciation pour ma vie, pour le soin qui m'est prodigué à chaque instant de ma vie.<br /> Soigne-toi bien Daniel.
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D
Je ne trouve plus les références du peintre. Désolé !!<br /> C'est très beau ce qu'il fait.
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D
Merci je vais mieux. Dans quelques jours il n'y paraîtra plus rien.<br /> <br /> Bon dimanche à vous dans le soleil du printemps
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D
Quoi ! une tête de veau ! Mon plat préféré( avec de la sauce Gribiche), j'arrive tout de suite. <br /> <br /> Je vais mieux au niveau santé mais suis fatigué. D'ici quelques jours je gambaderais à nouveau comme un lapin.<br /> <br /> Bonne soirée
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E
Alain, ce qui mijote ne boue pas.<br /> Cependant, tu restes un vieux hibou !<br /> <br /> Daniel, après la tête de veau que vous adorez, n'est-ce pas? et que j'ai mijoté rien que pour vous...<br /> <br /> Allez vite au lit, nous serons tous là...<br /> Nous entrerons par la fenêtre et nous danserons toute la nuit à votre chevet, en compagnie de la fée aux gros yeux.<br /> <br /> Bonne nuit.
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H
Daniel, des pensées pour vous... Pleins de belles pensées...
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H
Comme un cercle... Force et Paix finissent par se rejoindre... Sourire...
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H
Marie-Christine je te rejoins, et je crois de même que la Paix en soi donne aussi naissance à la Force en soi.
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M
La Force donne naissance à la Paix .
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A
Pauvre bête ! Si jeune.<br /> C'est pas CHOUETTE ce que tu fais.<br /> Et en plus, s'il mijote c'est qu'HI BOU.<br /> Vilaine sorcière !<br /> Moi qui voulais faire un tour de bas laid avec toi, j'vais aller faire un tour au BORD de l'EAUX.<br /> Ca VEAU mieux que d'faire la TÊTE et p't'être que j'y ferai une belle rencontre, qui sait !
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E
On est tous là !<br /> Quelle responsabilité vous assumez !<br /> Un blog spirituel en pleine révolution...<br /> Ola la !<br /> Que j'aimerais pas votre place.<br /> Aller, détendez-vous...<br /> De quoi avez-vous peur...?!<br /> Puisqu'il n'y a rien à craindre! Hein !<br /> <br /> Pour vous, ce soir, je mijote... <br /> Devinez quoi???<br /> UNE TÊTE DE VEAU !!!
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M
Belles paroles de paix et d'optimisme de la part de tous . Daniel, tu es gâté !<br /> Oui Alain, la question du déplacement des pôles est importante car elle pose le problème des énergies électro-magnétiques .<br /> Le fameux bouchon comporte un pôle magnétique négatif et un positif, provocant un phénomène d'attraction/répulsion .<br /> Et comme la terre (l'âme) possède son propre magnétisme et le soleil (l'esprit) son pouvoir électrique, le retournement du bouchon va remettre dans le bon sens tous les phénomènes physiques, chimiques et psychologiques fonctionnant de manière faussée jusqu'à présent .<br /> Et bien sûr, tout ce qui se passe dans l'univers et dans le cosmos, se passe en même temps dans notre corps . D'où les difficultés d'ajustement ...
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A
Si l'on en croit certains êtres bien avertis qui s'expriment aujourd'hui à travers le monde, qu'ils soient issus d'une Sagesse ancestrale ou bien encore qu'ils soient des messagers missionnés par des Êtres de Lumière, nous arrivons à une période charnière de la vie même de notre planette Terre que beaucoup appellent aujourd'hui Terre Mère.<br /> Chaque oscillation de la Terre dure 26.000 ans et nous arrivons au terme de la période actuelle. Les Mayas et autres Hopis mais aussi bon nombre d'amérindiens pensent détenir cette Sagesse et ont pour mission de faire le lien entre leur Savoir et notre ignorance.<br /> Ils nous préviennent donc. Ils nous affirment même que nous entrons prochainement (le 8 mars) dans une série de treize périodes de 18 jours chacune pour se terminer le 28 octobre prochain (fin du calendrier Maya).<br /> Bon nombre d'êtres ressentiront physiquement, émotionnellement des troubles divers liés à leur propre évolution et participeront à cette transtion entre deux niveaux de conscience.<br /> Le principe de la conscience, comme l'a souligné Marie, est matérialisé dans toutes les traditions par une spirale, qui, au fur et à mesure de sa formation, indique, à chaque nouvelle révolution, un niveau de conscience plus profond ou élargi, plus vaste.<br /> Il semblerait que nous arrivions à une période charnière car nous avons oublié qui nous sommes. Ce n'est pas que nous avons régressé mais les anciens sont là pour nous rappeler simplement qui nous sommes.<br /> Et c'est lorsque nous prendrons conscience de qui nous sommes, que nous pourrons passer d'un niveau de conscience à un autre.<br /> Actuellement, nous sommes dans la conscience dite du mental, celle qui juge et divise. Nous sommes dans la pensée manichéenne et le monde est fait à l'image de notre pensée.<br /> Daniel se pose la question :<br /> "Est ce que le monde qui m'entoure est à mon image. N'est-il pas immuable et n'est ce pas moi qui le façonne selon mes comportements, pensées et sensations?"<br /> S'il était seul à ressentir un changement à l'intérieur de son être, cette transformation ne pourrait pas à elle-même suffire pour changer le monde.<br /> Actuellement et en grande partie grâce à la technologie "Internet", un très grand nombre d'êtres prennent conscience du changement important qui s'opère en eux-mêmes avec ce besoin presque réflexe de réveiller les consciences en les bouleversant. Ils ressentent une énergie formidable qui les rend plus lucide et qui les pousse à transformer.<br /> Deux images en forme de métaphores expliquent ce formidable phénomène.<br /> Pour ceux qui vont à la pêche, ils savent que le bouchon à fleur de l'eau a une partie blanche (émergée) et une partie rouge (immergée). La partie émergée est la conscience du mental, alors que la partie immergée est la conscience du coeur.<br /> Pour ceux qui ont entendu parler de 2012, il est dit que la terre va connaître une inversion des pôles.<br /> Dans les deux exemples, la signification est que nous changeons de niveau de conscience et, comme le dit Marie, c'est une magnifique perspective.<br /> Alors, des Daniel, il en faut beaucoup beaucoup, pour que le bouchon se renverse car c'est bien de la Pensée que le monde des phénomènes apparents se crée et se forme.<br /> Aujourd'hui, la Terre Mère est à l'image de notre Pensée globale. A cause de son profil manichéen, nous divisons, nous séparons, nous croyons que le pouvoir, l'argent et la religion doivent continuer à nous diriger.<br /> Si nous changeons radicalement notre façon de penser, tous en même temps, nous ferons chuter ces trois aspects dominants de la conscience du mental.<br /> Il semblerait que cela soit le cas actuellement, qu'un grand nombre d'êtres veuillent sincèrement changer le monde. <br /> Alors qu'ils le fassent et que la nouvelle Conscience SOIT !
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F
Quel peintre réussit à faire des peintures à la fois si féériques et si fortes ?
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J
Quelle bonne intuition vous avez eue de nous témoigner du “passage à vide” que vous traversez. Et je vais jusqu’à imaginer que “cela vous a fait du bien” de nous le dire.<br /> <br /> Peut-être faut-il y voir le signe avant-coureur d’une mutation en vous, d’une remise en cause de vos certitudes, l’éclosion de “doutes”, et ce remue-méninges n’est pas sans influencer votre état physique.<br /> <br /> Oh ! Je ne vous apprends certes rien, mais je sais par expérience que nos évidences, nos Vérités, sont parfois masquées par un nuage qui passe... pour nous découvrir un autre ciel ! Une autre couleur de l’arc-en-ciel.<br /> <br /> Courage, nous vous assurons de nos pensées.<br /> <br /> Denise et José.
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F
Comme une fleur nous ouvrons ou fermons nos pétales au gré de nos difficultés ou de la lumière qui nous entoure.<br /> Courage Daniel, courage aux autres aussi car nous passons tous par des épreuves.
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M
L'image que tu as choisie pour illustrer ton texte est très belle, Daniel . Et paradoxalement, elle ne montre pas ton "état" d'épuisement ... Ce qui prouve que par-delà nos maux existe une formidable vision de ce qui est .<br /> Les nouvelles énergies sont de plus en plus puissantes et nous affectent tous . Nos corps sont triturés pour être remodelés de l'intérieur de la bonne façon . Il paraît que la fatigue et les douleurs un peu partout sont le signe que l'on est "pris en charge" . C'est donc une bonne nouvelle malgré les apparences . Il faut juste tenir le coup ! Et c'est l'occasion de grandes prises de conscience revigorantes .<br /> Il y a un ego physique, un ego dans le corps qui fait trembler : c'est la peur de disparaître, la peur de mourir . Mais c'est cet ego-là qui doit disparaître !<br /> Et les énergies nouvelles, dans leur immense bonté, font ce travail avec le moins de dégâts possibles . Il faut juste avoir beaucoup de courage, de patience et ne pas perdre espoir et optimisme car la victoire est certaine .<br /> Des vibrations de plus en plus subtiles nous traversent et nous font voir la vie autrement, nous rapprochant de plus en plus de la vérité .<br /> Ah Daniel, comme je te comprends !<br /> En même temps je suis heureuse de savoir que nous allons tous cahin caha, chacun à sa manière, vers un monde plus beau, plus grand, plus fraternel, un monde d'amour et de joie partagée, un monde sans ego .<br /> Ces épreuves nous envoient un message . Elles nous montrent que ce bonheur ne peut être hors de notre corps, hors du Corps de la terre divine . Le Père en haut, l'Esprit en nous, nous incite à épurer la Mère en bas, l'Ame en nous .<br /> La pollution terrestre est le symbole des souillures de notre âme de désir qui alourdit nos corps . Elles nous incitent à nous rapprocher de l'Ame véritable .<br /> De plus en plus, toutes nos pensées négatives, toutes nos passions, nos émotions, nos intentions douteuses, nos paroles insincères, nos actions troubles et toutes nos peurs surgiront au grand jour pour être nettoyées et nous nous sentirons considérablement allégés .<br /> Même la nourriture nous semblera un poids dans l'estomac .<br /> Ainsi purifiés de nos scories millénaires, nous serons enfin en mesure de réunifier le haut et le bas, le Père et la Mère, l'homme et la femme, l'Ame et l'Esprit, le ciel et la terre, le bourreau et la victime en nous, de réconcilier l'éternelle dualité .<br /> Torture de l'écartèlement . <br /> Extase de l'être réunifié .
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